Le paramédical : une filière pleine de sens, des études pleines de sciences, et des métiers d'avenir
Vous aimez l'univers médical mais les études de médecine vous font peur, ou ne vous font pas rêver ? Rassurez-vous : dans la santé, il y a beaucoup de professions qui ne nécessitent pas de passer une décennie sur les bancs de la fac. Assas Prépa Santé vous donne les clés pour intégrer une école d'audioprothésiste, d'orthoptiste ou de podologue : des métiers en pleine expansion et à forte valeur humaine.
S’orienter vers le paramédical
Vous êtes attaché à votre indépendance mais vous voulez un emploi stable ? Pourquoi ne deviendriez-vous pas audioprothésiste ? C'est le choix qu'a fait Saro, étudiant à l'école d'audioprothèse de Nancy. « J'ai passé deux ans en BTS de management commercial. Les métiers du commerce c'est vague, et les débouchés ne courent pas les rues. Je voulais quelque chose de plus technique, et j'aimais l'idée d'être mon propre patron. Créer les appareils de patients malentendants, c'est un beau travail. Alors je me suis lancé. » Pour Pierre, étudiant en podologie, c'est l'humanité du métier qui a été décisive. « La podologie, ce n'est que du relationnel, allié à l'expertise du membre inférieur qu'est le pied. » Et si vous n'avez pas fait S, ce n'est pas un problème ! En effet, il existe un programme Assas Tremplin Santé, prépa de mise à niveau scientifique qui permet de mettre à jour les connaissances scientifiques nécessaires pour que chacun réalise ses objectifs. Les matières enseignées sont la physique, la biologie, la chimie et les mathématiques (reprise des programmes de 1ère et Terminale S, hors spécialités).
L’étape concours
Les écoles qui forment aux métiers paramédicaux comme assistante dentaire sont sélectives, la prépa est donc un passage conseillé. « Sans école préparatoire, je ne pense pas que j'aurais pu réussir », déclare Pierre, qui a suivi les cours d'Assas Prépa Santé. « Les concours paramédicaux sont très spécifiques. L'avantage d'Assas Prépa Santé, c'est que l'enseignement n'y est pas général : on nous entraîne spécialement pour le métier qu'on a choisi. » La prépa aide aussi à se mettre dans l'esprit concours : « À Assas Prépa Santé, on nous donne des astuces pour répondre aux questions et une méthodologie de travail ». Avec un examen par semaine et un concours blanc par mois, les étudiant.es sont parés à affronter la compétition. Celle-ci est rude, comme en témoigne Saro, qui a tenté deux fois les écoles d'audioprothèse : « Il faut être persévérant. Et ne pas oublier que toute une équipe est là pour nous soutenir ! J'avais une très bonne relation avec le corps enseignant d'Assas Prépa Santé. J'ai gardé contact avec mes profs. »
La prépa et le stress
Le système prépa vous fait peur ? Vous redoutez de voir votre vie personnelle dépérir et de finir au bord du burn-out ? À Assas Prépa Santé en tout cas, le surmenage est à bannir. Il n'y a que 3 jours de cours par semaine. Objectif : laisser aux étudiant.es le temps de se ressourcer et d'assimiler les connaissances. Saro voit cet emploi du temps comme un atout : « J'en profitais pour travailler une matière par jour libre, j'alternais entre maths, physique et biologie. » Mais le risque quand on a beaucoup de liberté, c'est de se laisser aller. Pour Pierre : « ça peut en déstabiliser certains qui sortent du lycée. Il leur faut un temps d'adaptation ». Après une année intensive en médecine, Pierre n'a pas eu ce problème
Le paramédical, c'est possible si on n'a pas fait S?
« Le Bac S est préférable, mais il n'est pas obligatoire » selon Saro. Pour ceux qui le souhaitent, Assas Prépa Santé propose une remise à niveau scientifique. Cette option n'est pas à négliger, même si on peut réussir sans : « J'étais nul en terminale S », déclare Saro. « Après mon BTS commercial j'étais encore plus nul. Le peu que je savais, je l'avais oublié. Ma première année de prépa, je n'ai eu que des zéros, c'est pour ça que j'ai raté le concours. Mais la deuxième fois, je l'ai réussi. Il faut s'accrocher. ». Seul bémol : « On ne peut passer les épreuves d'audioprothèse que 3 fois dans une vie. Il ne faut donc pas trop compter sur un redoublement ! »
Et la suite?
On ne vous le répètera jamais assez : faites des stages ! Pierre en fait depuis qu'il a 17 ans : « Ça m'a permis de me créer un réseau dans le milieu. J'ai plusieurs pistes d'emploi et on me tient au courant des cabinets qui se libèrent, car c'est ce qui m'intéresse. » Saro, quant à lui, veut exercer le métier d'audioprothésiste en parallèle à celui d'enseignant, comme ses profs de prépa : « Les débouchés sont nombreux quand on est audioprothésiste : de salarié dans les centres au travail en cabinet, en passant par les interventions en hôpitaux... Ma seule certitude pour le moment : j'aimerais former d'autres étudiant.es, comme j'ai moi-même été formé. »
L’avantage d’Assas Prépa Santé, c'est que l’enseignement n’y est pas général : on nous entraîne spécialement pour le métier qu’on a choisi.