La fac privée, une alternative crédible à l'université publique
Vous avez peur d'être perdu à l'université ? Pourquoi ne pas opter pour une faculté privée ? Effectifs réduits, encadrement rapproché, relations privilégiées avec les profs : l'université privée, ça marche ! La preuve : une insertion professionnelle proche de 100%. Et il y en a pour tous les goûts...
FACO PARIS : encadrement rapproché, réussite maximisée
« Réussir ses études de droit et d'économie », c'est le mot d'ordre de la Faculté libre de droit, d'économie et de gestion (FACO PARIS). Mais ce n'est pas tout, l'université prépare également les étudiant.es qui le souhaitent aux concours des grandes écoles. Tout un programme, dans lequel Grégory Portais se fera un plaisir de vous guider. Ce prof de droit qui enseigne dans des facs privées et publiques note qu'à FACO PARIS, « les élèves sont proches du corps enseignant », ce qui contribue à « l'humanité de l'enseignement ». Dans les cours de TD « il y a un tiers d'étudiant.es en moins que dans le public ». Et ça fait toute la différence. « On n'est pas dans le cas où un professeur fait son cours magistral, puis rentre chez lui. À FACO PARIS, le prof prend son temps, il discute avec les élèves ». L'enseignement se veut d'excellence, alors forcément, le niveau est élevé. « Les exigences sont fortes sur le contrôle continu », plus qu'à la fac en tout cas, selon M. Portais.
Pour se maintenir dans la moyenne, il faut être présent en cours, et suivre. Mais pour ceux qui redoutent la trop grande liberté de l'enseignement supérieur, pas de panique. « L'assiduité des élèves est contrôlée, et donne lieu à un compte-rendu aux parents. » Une bonne raison de vous lever le matin !
À noter : à FACO PARIS, une deuxième rentrée est prévue en janvier pour les retardataires, ou ceux qui ont fait une erreur d'aiguillage au premier semestre !
L’ICES : une université à taille humaine, mais ouverte sur le monde.
L'Institut Catholique d'Etudes Supérieur (ICES), c'est « l'université à taille humaine », résume Eric de Labarre, le président de l'école. « Avec 1 100 étudiant.es seulement, la proximité est réelle, que ce soit entre les élèves, ou avec les enseignants. » Pas de risque de se perdre, ni dans la ville de La Roche-sur-Yon, une ville de taille moyenne (94 000 habitants) où les loyers sont modérés, ni dans la fac, où vous aurez vite vos repères. Une petite université, qui suit le modèle des grandes écoles : « L'ICES choisit et recrute les meilleurs spécialistes dans leurs disciplines respectives. » Et des disciplines, il y en a ! À l'ICES, on peut apprendre le droit privé, le droit public, les relations internationales, les humanités, et l'histoire. Si vous aimez échanger avec les étudiant.es d'autres cursus, vous serez servi ! Et puisque l'ouverture est l'apanage de cette université catholique, le président tient à nous rappeler qu' « il n'y a pas besoin d'être croyant pour venir étudier à l'ICES. Chacun est bienvenu, quel que soit son rapport à la foi ». Une démarche éducative fondée sur l'acceptation de l'autre, qui laisse aussi la part belle à l'exploration de nouvelles cultures. « L'ICES compte 70 universités partenaires dans le monde entier. Chaque année, près de 15% des élèves partent à l'étranger pour un séjour d'un ou deux semestres. »
L’ICES choisit et recrute les meilleurs spécialistes dans leurs disciplines respectives.
L’Université Catholique de Lille : un environnement pluridisciplinaire et citoyen
Avec 18 000 étudiant.es, la Catho de Lille est la plus grosse fac privée de notre sélection. On y trouve tous les cursus, ou presque : agriculture, métiers du social, art et culture, bâtiments, travaux publics, aménagement de l'espace, commerce, économie, gestion, droit, éducation, fonction publique, information-communication, lettres, sciences humaines, santé, sciences de l'industrie, théologie, tourisme et transport. Le point commun de tous ces parcours ? L'étudiant, qui est « au cœur des projets de l'université » selon son président Pierre Giorgini. Il ne s'agit pas de le faire rentrer dans un moule, mais au contraire, de « l'accompagner dans la définition et la construction de son projet personnel et professionnel ». Pour aider les élèves à se découvrir et à se former d'un point de vue personnel, la catho encourage « les services à la Société et les actions de solidarité, dans la coopération internationale ». Grâce à ces missions humanitaires, l'étudiant se positionne en tant qu'acteur responsable, dans un monde où beaucoup ont besoin d'aide. Et pour parfaire son engagement citoyen, l'université s'implique, depuis 2006, dans une démarche environnementale. C'est dans cette optique qu'a été créé l'institut du développement durable, qui trouve des solutions pour le respect de l'équilibre naturel, sur le campus et dans le monde. Une fac dynamique et incarnée, qui ne se contente pas d'enseignements théoriques mais qui vit ses engagements.
Effectifs réduits, encadrement rapproché, relations privilégiées avec les profs : l’université privée, ça marche !